Nos classiques

Les Cahiers de Douai


Rejoignez la communauté !
Co-construisez les ressources dont vous avez besoin et partagez votre expertise pédagogique.
Mes Pages
Les Cahiers de Douai
Comprendre et s'approprier
Dossier pédagogique
Explications linéaires
Parcours associé
Dissertation
Prolongements
Introduction

Qui était Arthur Rimbaud ?

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Arthur, élève modèle ? (1854-1870)

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
  • Deuxième d'une fratrie de quatre enfants, Arthur Rimbaud naît en 1854 à Charleville, qu'il surnomme «  Charlestown  » et qu'il considère comme « supérieurement idiote entre les villes de province ».
  • Son père, officier, quitte le domicile familial quand Arthur a six ans et ne donnera plus signe de vie. Sa mère, Vitalie Cuif, dite «  la Daromphe  » ou « la mother », rude et sévère paysanne ardennaise, restera toujours une présence fidèle.
  • Jusqu'à seize ans, Arthur est un élève brillant, et obtient des prix en enseignement religieux, en latin, en grec et en récitation.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Placeholder pour Louis-Eugène Vassogne,Frères Rimbaud communiants,
photographie, 1866.Louis-Eugène Vassogne,Frères Rimbaud communiants,
photographie, 1866.
Louis-Eugène Vassogne, Frères Rimbaud communiants, photographie, 1866.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Vidéo

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Supplément numérique

Placeholder pour Arbre généalogiqueArbre généalogique

Vous pouvez télécharger ce schéma en .
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte 1

On dit que cet enfant, avec d'un côté de son pupitre ce fantôme et de l'autre cette créature d'imprécation et de désastre, fut idéalement scolaire et eut pour le jeu ancien des vers une vive attirance : peut-être que dans le vieux tempo sommaire à douze pieds il entendait le clairon fantôme de garnisons lointaines, et les patenôtres aussi de la créature de désastre, qui pour scander1 sa souffrance mauvaise avait trouvé Dieu comme son fils pour le même effet trouva les vers ; et dans cette scansion il maria le clairon et les patenôtres, idéalement.
Pierre Michon
Rimbaud le fils
©Éditions Gallimard, 1991.

1. Scander : marquer le rythme ou les mots sur lesquels on veut attirer l'attention.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 1

Texte 1 Décrivez le collégien qu'était Rimbaud en vous aidant de la vidéo.
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 2

Pourquoi l'écriture a-t-elle pu constituer un refuge pour Rimbaud ?
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

L'art de la fugue (1870-1875)

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
carte des voyages de Rimbaud
1870 : Rimbaud fugue à Paris puis à Charleroi, en Belgique, et revient finalement à Douai chez son professeur Izambard, qui le ramène à Charleville où sa mère le réclame. Les poèmes du recueil de Douai datent de cette période. ()

1871  : Rimbaud commence une vie de bohème : il part pour Paris à l'heure de la Commune, et rencontre Verlaine qui lui présente les poètes parnassiens. « Le Bateau ivre » fait sensation.

1872  : la liaison de Verlaine et Rimbaud fait scandale. Ils partent ensemble à Londres.

1873  : une querelle violente sépare les deux poètes à Bruxelles : Verlaine est emprisonné. Rimbaud rentre dans les Ardennes écrire Une Saison en enfer.

1875  : Rimbaud confie les feuillets des Illuminations à Verlaine.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 3

Quels pays Rimbaud traverse-t-il à cette époque de sa vie ?
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte 2
Départ

Assez vu. La vision s'est rencontrée à tous les airs.
Assez eu. Rumeurs des villes, le soir, et au soleil, et toujours.
Assez connu. Les arrêts de la vie. – Ô Rumeurs et Visions !
Départ dans l'affection et le bruit neufs !
Arthur Rimbaud
Illuminations
1886.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Je suis dépaysé, malade, furieux, bête, renversé ; j'espérais des bains de soleil, des promenades infinies, du repos, des voyages, des aventures, des bohémienneries, enfin [...].
Lettre d'Arthur Rimbaud à Georges Izambard, 25 août 1870.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte 3
Le Bateau ivre

Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs1 ;
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. [...]

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent2,
Dévorant les azurs verts ; [...]
Arthur Rimbaud
Illuminations
1886.

1. Haleurs : personnes chargées de tirer les bateaux le long d'un cours d'eau.
2. Lactescent : d'un blanc laiteux.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
William Turner, Lever de soleil avec monstres marins, 1845, huile sur toile, 91 × 122 cm, Tate Britain, Londres.
Placeholder pour William Turner, Lever de soleil avec
monstres marins, 1845, huile sur toile,
91 × 122 cm, Tate Britain, Londres.William Turner, Lever de soleil avec
monstres marins, 1845, huile sur toile,
91 × 122 cm, Tate Britain, Londres.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 4

À la lumière des éléments de ces pages, de l'extrait de Sylvain Tesson et de lettre à Georges Izambard expliquez ce que cherche Rimbaud dans ses fugues.
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte numérique

Pourquoi la marche fait-elle si bon ménage avec la poésie ?
Elle fait d'abord ménage avec l'enfance. L'enfant croit que la vie sera une aventure. La marche réalise la promesse et procure un entraînement à peu de frais. L'enfant se promène par la première allée venue, il sera toujours temps de déchanter.
Sylvain Tesson
Un été avec Rimbaud © Éditions des Équateurs, 2021.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte numérique

Charleville, 25 août 1870.
Monsieur,
Vous êtes heureux, vous, de ne plus habiter Charleville ! — Ma ville natale est supérieurement idiote entre les petites villes de province. Sur cela, voyez-vous, je n'ai plus d'illusions. Parce qu'elle est à côté de Mézières, — une ville qu'on ne trouve pas, — parce qu'elle voit pérégriner dans ses rues deux ou trois cents de pioupious, cette benoîte population gesticule, prud'hommesquement spadassine, bien autrement que les assiégés de Metz et de Strasbourg ! C'est effrayant, les épiciers retraités qui revêtent l'uniforme ! C'est épatant comme ça a du chien, les notaires, les vitriers, les percepteurs, les menuisiers et tous les ventres, qui, chassepot au cœur, font du patrouillotisme aux portes de Mézières ; ma patrie se lève !... Moi j'aime mieux la voir assise : ne remuez pas les bottes ! c'est mon principe.
Je suis dépaysé, malade, furieux, bête, renversé ; j'espérais des bains de soleil, des promenades infinies, du repos, des voyages, des aventures, des bohémienneries enfin ; j'espérais surtout des journaux, des livres... Rien ! Rien ! Le courrier n'envoie plus rien aux libraires ; Paris se moque de nous joliment : pas un seul livre nouveau ! c'est la mort ! Me voilà réduit, en fait de journaux, à l'honorable Courrier des Ardennes, — propriétaire, gérant, directeur, rédacteur en chef et rédacteur unique : A. Pouillard ! Ce journal résume les aspirations, les vœux et les opinions de la population : ainsi jugez ! c'est du propre !... On est exilé dans sa patrie !!!
Heureusement, j'ai votre chambre : — Vous vous rappelez la permission que vous m'avez donnée. — J'ai emporté la moitié de vos livres ! J'ai pris Le Diable à Paris. Dites-moi un peu s'il y a jamais eu quelque chose de plus idiot que les dessins de Grandville ? — J'ai Costal l'Indien, j'ai La Robe de Nessus, deux romans intéressants. Puis, que vous dire ?... J'ai lu tous vos livres, tous ; il y a trois jours, je suis descendu aux Épreuves, puis aux Glaneuses, — oui ! j'ai relu ce volume ! — puis ce fut tout !... Plus rien ; votre bibliothèque, ma dernière planche de salut, était épuisée !... Le Don Quichotte m'apparut ; hier, j'ai passé, deux heures durant, la revue des bois de Doré : maintenant, je n'ai plus rien !
Je vous envoie des vers ; lisez cela un matin, au soleil, comme je les ai faits : vous n'êtes plus professeur, maintenant, j'espère !...
Vous aviez l'air de vouloir connaître Louisa Siefert, quand je vous ai prêté ses derniers vers ; je viens de me procurer des parties de son premier volume de poésies, les Rayons perdus, 4e édition. J'ai là une pièce très émue et bort belle, Marguerite ;

"Moi, j'étais à l'écart, tenant sur mes genoux
Ma petite cousine aux grands yeux bleus si doux :
C'est une ravissante enfant que Marguerite
Avec ses cheveux blonds, sa bouche si petite
Et son teint transparent...
Marguerite est trop jeune. Oh ! si c'était ma fille,
Si j'avais une enfant, tête blonde et gentille,
Fragile créature en qui je revivrais,
Rose et candide avec de grands yeux indiscrets !
Des larmes sourdent presque au bord de ma paupière
Quand je pense à l'enfant qui me rendrait si fière,
Et que je n'aurai pas, que je n'aurai jamais ;
Car l'avenir, cruel en celui que j'aimais,
De cette enfant aussi veut que je désespère...
Jamais on ne dira de moi : c'est une mère !
Et jamais un enfant ne me dira : maman !
C'en est fini pour moi du céleste roman
Que toute jeune fille à mon âge imagine...
Ma vie, à dix-huit ans, compte tout un passé."

— C'est aussi beau que les plaintes d'Antigone, dans Sophocle.
J'ai les Fêtes galantes de Paul Verlaine, un joli in-12 écu. C'est fort bizarre, très drôle ; mais vraiment, c'est adorable. Parfois de fortes licences : ainsi,
Et la tigresse épou - vantable d'Hyrcanie

est un vers de ce volume. Achetez, je vous le conseille, La Bonne Chanson, un petit volume de vers du même poète : ça vient de paraître chez Lemerre ; je ne l'ai pas lu : rien n'arrive ici ; mais plusieurs journaux en disent beaucoup de bien.
Au revoir, envoyez-moi une lettre de 25 pages — poste restante — et bien vite !

A. RIMBAUD.


P. S. — À bientôt, des révélations sur la vie que je vais mener après... les vacances...
Arthur Rimbaud
Lettre à Georges Izambard, 25 août 1870.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

L'aventurier solitaire (1875-1891)

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
  • 1875 : Rimbaud abandonne la littérature et voyage beaucoup.
  • 1876-1878 : engagé dans l'armée des Indes néerlandaises, il déserte et revient à Charleville. Il s'emploie à différents métiers en France et à l'étranger.
  • 1879-1890 : malade de la typhoïde, il revient en France, mais repart à Aden (sud-ouest du Yémen) puis à Harar (Éthiopie), où il s'essaye à la photographie, au commerce et au trafic d'armes. Ses lettres à sa famille témoignent de sa grande solitude.
  • 1891  : rapatrié à Marseille pour soigner un cancer des os, il est amputé de la jambe droite et meurt, accompagné de sa sœur Isabelle qui témoigne de sa conversion à la foi catholique.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 5

En quelques lignes, faites le bilan du parcours littéraire de Rimbaud.
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte 4
Tu as bien fait de partir, Arthur Rimbaud !

Tes dix-huit ans réfractaires à l'amitié, à la malveillance, à la sottise des poètes de Paris ainsi qu'au ronronnement d'abeille stérile de ta famille ardennaise un peu folle, tu as bien fait de les éparpiller aux vents du large, de les jeter sous le couteau de leur précoce guillotine. Tu as eu raison d'abandonner le boulevard des paresseux, les estaminets1 des pisse-lyres, pour l'enfer des bêtes, pour le commerce des rusés et le bonjour des simples.

Cet élan absurde du corps et de l'âme, ce boulet de canon qui atteint sa cible en la faisant éclater, oui, c'est bien là la vie d'un homme ! On ne peut pas, au sortir de l'enfance, indéfiniment étrangler son prochain. Si les volcans changent peu de place, leur lave parcourt le grand vide du monde et lui apporte des vertus qui chantent dans ses plaies.

Tu as bien fait de partir, Arthur Rimbaud ! Nous sommes quelques-uns à croire sans preuve le bonheur possible avec toi.
René Char
Fureur et mystère
©Éditions Gallimard, 1948.

1. Estaminets : petits cafés populaires.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 6
Texte 4
Pourquoi René Char lui dit-il qu'il a « bien fait de partir » ?
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

La construction d'un mythe

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte 5

Pendant assez longtemps, Rimbaud a donc été tenu surtout pour un poète subversif, pour une sorte d'anarchiste de la poésie, créateur d'œuvres « absolument inintelligibles et repoussantes ». Ses adversaires racontaient complaisamment des histoires scabreuses à son sujet, dont certaines ont été probablement mises en circulation par le poète lui-même, afin d'«  épater la bourgeoisie  ». En effet, si Rimbaud a joué presque systématiquement la provocation, on peut dire que pendant une cinquantaine d'années au moins, sa capacité de choquer le lecteur traditionnel de la poésie est restée à peu près intacte. Très tôt il a su adopter tous les styles poétiques de son époque, la caricature et l'invective des Châtiments de Hugo, le réalisme de Coppée, la fantaisie funambulesque du Parnassien Théodore de Banville, l'interrogation existentielle et l'imagerie de Baudelaire. Cependant, s'il a pu adopter ces styles, il ne s'y est jamais platement adapté. Intègre, il n'est jamais devenu, comme il aurait pu le faire, un auteur à succès [...]. Ainsi, dans une rapide spirale stylistique, son œuvre proposera un dépassement de ces modèles, pour mettre en cause jusqu'aux prémices de la prosodie contemporaine.
Steve Murphy
Le Premier Rimbaud ou l'apprentissage de la subversion
©CNRS/Presses universitaires de Lyon, 1990.
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.
Question 7
Seul(e)
a) Comparez les de Rimbaud. Que révèlent-elles du personnage, et des projections faites sur lui ?
b) En quoi peut-on parler d'une icône ?
Question 8
En binôme
En vous appuyant sur le texte 5 et le texte 6, rédigez un paragraphe de synthèse qui explique les différentes facettes de Rimbaud.
Question 9
En groupe
a) Faites une recherche sur la polémique récente autour d'une possible panthéonisation de Rimbaud. Quels arguments chacun des deux camps a-t-il avancés  ?
b) En vous appuyant sur la comparaison des différents portraits plastiques et littéraires de Rimbaud, organisez un débat collectif : Rimbaud, génie ou voyou ?
Synthèse collective

Comment relativiser le mythe littéraire construit autour de Rimbaud ?
Afficher la correction
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Texte 6

Rimbaud
le Voyant (A. Rolland de Renéville)
le Voyou (B. Fondane)
l'éclatant désastre (P. Brunel)
le génie impatient (H. Mondor)

est
un poète maudit (P. Verlaine)
un « aventurier de l'idéal » (J.-M. Carré)
un « passant considérable » (S. Mallarmé)
« l'homme aux semelles de vent » (P. Verlaine)
« un mystique à l'état sauvage » (P. Claudel)
« une étoile filante » (P. Bardey, son employeur à Harar)

a
poursuivi une « recherche mystique » (P. J. Jouve)
« révolutionné la poésie » (A. Breton)
un « talent de dégénéré » (Dr Lacambre)
« la volonté de vivre une poésie en acte » (G. Macé)
une « puberté perverse et superbe » (S. Mallarmé)

ne fit plus rien
«  que de voyager terriblement et de mourir fort jeune » (P. Verlaine)

s'est opéré
« vivant de la poésie » (S. Mallarmé)

est devenu
« négrier en Ouganda » (Écho de Paris, 1891)

en Abyssinie était
«  le type le plus audacieux de l'explorateur  » (J.-M. Carré)

a écrit
« 40 000 vers inédits » (Les Nouvelles littéraires, 1947)

était
« déjà mort en 1886 » (La Vogue)

est
mort, en 1891, comme « un saint, un martyr, un élu » (I. Rimbaud)
l'enseigne d'un bar à Addis-Abeba

Rimbaud
« brûle toujours » (A. Breton)
Extraits de la préface de Pascaline Mourier-Casile, Arthur Rimbaud, Œuvres
©Éditions Pocket, 2010.

Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Supplément numérique

Placeholder pour Portrait en noir et blanc d'Arthur Rimbaud, photographié par Etienne CarjatPortrait en noir et blanc d'Arthur Rimbaud, photographié par Etienne Carjat
Étienne Carjat, Arthur Rimbaud vers 1872, photographie.

Placeholder pour Portrait en couleur d'Arthur Rimbaud, huile sur tissu et toilePortrait en couleur d'Arthur Rimbaud, huile sur tissu et toile
Christiaan Tonnis, Arthur Rimbaud (détail), huile sur tissu et toile, 1987.

Placeholder pour Portrait en couleur d'Arthur Rimbaud, huile sur tissu et toilePortrait en couleur d'Arthur Rimbaud, huile sur tissu et toile
Louis-Eugène Vassogne, Frères Rimbaud communiants, photographie, 1866.


Placeholder pour Une du journal « Les hommes d'aujourd'hui » représentant un dessin de Rimbaud jouant avec des voyelles. Il est en train de les peindre.Une du journal « Les hommes d'aujourd'hui » représentant un dessin de Rimbaud jouant avec des voyelles. Il est en train de les peindre.
Luque, Caricature de Rimbaud dans la revue Les Hommes d'aujourd'hui, janvier 1888.

Placeholder pour Portrait à l'eau-forte (technique de gravure) d'Arthur Rimbaud, en noir et blanc.Portrait à l'eau-forte (technique de gravure) d'Arthur Rimbaud, en noir et blanc.
Armand Coussens, Portrait d'Arthur Rimbaud, vers 1923, eau-forte.

Placeholder pour Portrait en noir et blanc d'Arthur Rimbaud, très simpliste.Portrait en noir et blanc d'Arthur Rimbaud, très simpliste.
Félix Vallotton, Portrait de Rimbaud, vers 1898, publié dans Le Livre des masques (vol. II) de Rémy de Gourmont, Bibliothèque nationale de France.

Placeholder pour Dessin représentant Arthur Rimbaud couché, les mains derrière la tête.Dessin représentant Arthur Rimbaud couché, les mains derrière la tête.
Jean-Louis Forain, Rimbaud, 1872, peinture, collection privée
Ressource affichée de l'autre côté.
Faites défiler pour voir la suite.

Supplément numérique

Plusieurs journaux et médias ont évoqué, en 2021, la possible panthéonisation d'Arthur Rimbaud, suscitant une polémique. Lisez plusieurs de ces articles : Pour aller plus loin, écoutez à ce sujet.

Une erreur sur la page ? Une idée à proposer ?

Nos manuels sont collaboratifs, n'hésitez pas à nous en faire part.

j'ai une idée !

Oups, une coquille

Utilisation des cookies
Lors de votre navigation sur ce site, des cookies nécessaires au bon fonctionnement et exemptés de consentement sont déposés.