Médecin depuis 1896, elle est, à la suite d'une erreur administrative, la seule femme médecin mobilisée en 1914.
Elle soigne les malades et les blessés, y compris sur le front, notamment à Verdun, avant de prendre la direction d'un hôpital à Paris à partir de 1916.
Militante dans une association féministe, elle participe à la création de la Ligue nationale contre le cancer avant de mourir en 1919, peut‑être d'un surmenage.