Imaginez la lettre qu'Antigone prisonnière aurait eu le temps d'écrire à sa nourrice. La jeune fille exprimera dans 
une partie les sentiments qu'elle éprouve quelques minutes 
avant de mourir et dans une autre justifiera ses actes. Elle 
achèvera sa lettre par des paroles réconfortantes pour sa 
nourrice.
Vous pouvez auparavant relire la scène située au début de 
la pièce d'Anouilh, entre Antigone et sa nourrice.