Zone d'échauffement

1. Les scénarios du GIEC prévoient une augmentation de la température de l'atmosphère en 2100 équivalente à :

a. 1 °C à 3 °C.

b. 1,5 °C à 5 °C.

c. 3 °C à 7 °C.

2. L'IPBES évalue le nombre d'espèces menacées par les activités humaines à :

a. 500 000.

b. 800 000.

c. 1 000 000.

3. Selon les modélisations du GIEC, les océans vont connaître :

a. une diminution du pH.

b. une augmentation du pH.

c. une diminution d'acidité.

4. Le scénario le plus pessimiste du GIEC est le :

a. RCP 2.6.

b. RCP 6.0.

c. RCP 8.5.

5. L'augmentation de la température prévue par les modèles climatiques est principalement due :

a. au rayonnement solaire.

b. à l'augmentation des gaz à effet de serre d'origine anthropique.

c. à l'activité volcanique.

6. L'évaluation puis la validation de la pertinence des modèles climatiques :

a. sont possibles grâce à l'application des modèles sur des données paléoclimatiques.

b. nécessitent la prise en compte de certaines données seulement.

c. font l'objet de corrections de plus en plus fréquentes.

7. L'industrie cimentière émet des gaz à effet de serre surtout lors :

a. de l'extraction des matières premières.

b. de la cuisson, nommée clinkérisation.

c. du transport de marchandises.

8. L'élévation du niveau de la mer en 2100 selon les projections RCP 8.5 est estimée à :

a. moins d'un mètre.

b. environ un mètre.

c. plusieurs mètres.

9. Le principal gaz à effet de serre d'origine humaine au niveau quantitatif est :

a. le dioxyde de carbone.

b. le méthane.

c. le protoxyde d'azote.

10. Justifier cette phrase du climatologue Jean Jouzel :
« On n'est plus dans le futur : ce sont les enfants d'aujourd'hui, ceux des cours d'école, qui pourraient subir ces étés à 50 °C. »