Le Menteur | Le Cid |
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DORANTE (I, 3, v. 163-166)
Et durant ces quatre ans Il ne s'est fait combats, ni sièges importants, Nos armes n'ont jamais remporté de victoire, Où cette main n'ait eu bonne part à la gloire. | RODRIGUE
(IV, 3, v. 1301-1304)
Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres, Où chacun, seul témoin des grands coups qu'il donnait, Ne pouvait discerner où le sort inclinait ! |
DORANTE
(III, 1, v. 757-759)
Si vous pouviez encor douter de mon courage, Je ne vous guérirais ni d'erreur ni d'ombrage, Et nous nous reverrions, si nous étions rivaux. | RODRIGUE
(II, 2, v. 415-418)
J'attaque en téméraire un bras toujours vainqueur, Mais j'aurais trop de force, ayant assez de cœur. À qui venge son père il n'est rien d'impossible : Ton bras est invaincu, mais non pas invincible. |
GÉRONTE
(V, 3, v. 1501)
Êtes-vous Gentilhomme ? | DON DIÈGUE
(I, 5, v. 261)
Rodrigue, as-tu du cœur ? |
ALCIPPE (III, 2, v. 813-814)
La valeur n'apprend point la fourbe en son école, Tout homme de courage est homme de parole. | |
PHILISTE
(III, 2, v. 827-828)
Dorante, à ce que je présume, Est vaillant par nature, et menteur par coutume. | |
GÉRONTE
(V, 3, v. 1541-1554)
Tu me fais donc servir de fable et de risée, Passer pour un esprit faible, et pour cervelle usée ! [...] Ingrat tu m'as payé d'une impudence feinte Et tu n'as eu pour moi respect, amour ni crainte. |
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j'ai une idée !
Oups, une coquille