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Théâtre
Fiche 4

Les différents types de pièces

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Les différents types de théâtre
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1
Choisissez la bonne réponse.

1. Dans une tragédie classique, il est impossible de trouver un effet comique :


2. Une tragicomédie finit toujours mal :


3. Dans un drame romantique, sérieux et comique se mêlent :


4. Les dramaturges actuels doivent respecter un type de pièce précis :
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S'exercer

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2
Indiquez, pour chaque extrait, s'il provient d'une comédie classique ou d'une tragédie classique. Justifiez.

1.
PHÈDRE

J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines
Un poison que Médée apporta dans Athènes.
Racine,
Phèdre, V, 7, 1677.


2.
MARTINE

Mon Dieu, je n'avons pas étugué comme vous,
Et je parlons tout droit comme on parle cheux nous.

PHILAMINTE

Ah ! peut-on y tenir ?

BÉLISE
Quel solécisme1 horrible  !
Molière,
Les Femmes savantes, II, 5, 1672.

1. Faute de syntaxe.
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3
a. Laquelle de ces didascalies initiales appartient à une tragédie ? à une comédie ?

b. Émettez des hypothèses sur le nœud de chacune des intrigues et leur dénouement.

1.
DANDIN, juge.

LÉANDRE, fils de Dandin.

CHICANEAU, bourgeois.

ISABELLE, fille de Chicaneau.

LA COMTESSE.

PETIT-JEAN.

L'INTIMÉ, secrétaire.

LE SOUFFLEUR.

La scène est dans une ville de basse Normandie.
Jean Racine,
Les Plaideurs, 1668.


2.
TITUS, empereur de Rome.

BÉRÉNICE, reine de Palestine.

ANTIOCHUS, roi de Comagène.

PAULIN, confident de Titus.

ARSACE, confident d'Antiochus.

PHÉNICE, confidente de Bérénice.

RUTILE, Romain.

suite de TITUS.

La scène est à Rome, dans un cabinet qui est entre l'appartement de Titus et celui de Bérénice.
Jean Racine,
Bérénice, 1671
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4
a. Quels effets comiques pouvez‑vous relever dans l'extrait suivant ?

b. Quels sont les liens entre les différents personnages ? Comment les apprend‑on ?
MADAME PERNELLE

Allons, Flipote, allons ; que d'eux je me délivre.

ELMIRE

Vous marchez d'un tel pas, qu'on a peine à vous suivre.

MADAME PERNELLE

Laissez, ma bru, laissez ; ne venez pas plus loin ;
Ce sont toutes façons dont je n'ai pas besoin. [...]

DORINE

Si…

MADAME PERNELLE

Vous êtes, ma mie, une fille suivante,
Un peu trop forte en gueule, et fort impertinente ;
Vous vous mêlez sur tout de dire votre avis.

DAMIS

Mais…

MADAME PERNELLE

Vous êtes un sot en trois lettres, mon fils ;
C'est moi qui vous le dis, qui suis votre grand'mère.
Molière,
Le Tartuffe ou l'imposteur, I,1,1669.
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5
a. Montrez que l'extrait suivant relève de la tragédie classique.

b. Réécrivez cette situation en prose, sous forme de comédie : Hermione se déclare à Pyrrhus qui fait semblant de ne pas comprendre.
Hermione se déclare à Pyrrhus mais celui-ci est amoureux d'Andromaque.

HERMIONE.

Où suis-je ? Qu'ai‑je fait ? Que dois‑je faire encore ?
Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ?
Errante, et sans dessein, je cours dans ce palais.
Ah ! Ne puis‑je savoir si j'aime ou si je hais ? [...]
Muet à mes soupirs, tranquille à mes alarmes,
Semblait‑il seulement qu'il eût part à mes larmes ?
Et je le plains encore ! Et, pour comble d'ennui,
Mon cœur, mon lâche cœur s'intéresse pour lui
Je tremble au seul penser du coup qui le menace,
Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce.
Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux :
Qu'il périsse ! Aussi bien il ne vit plus pour nous.
Jean Racine,
Andromaque, V,1, 1667.
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6
a. Relevez le champ lexical de la condition sociale.

b. Quelles sont les répliques qui trahissent la condition sociale des personnages ?

c. Selon vous, à quel type de pièce cet extrait appartient‑il ?
Silvia se fait passer pour sa servante Lisette, Dorante pour son valet Bourguignon.

DORANTE. – Puisque nous sommes dans le style amical et que nous avons abjuré les façons, dis‑moi, Lisette, ta maîtresse te vaut‑elle ? Elle est bien hardie d'oser avoir une femme de chambre comme toi !

SILVIA. – Bourguignon, cette question‑là m'annonce que, suivant la coutume, tu arrives avec l'intention de me dire des douceurs : n'est-il pas vrai ?

DORANTE. – Ma foi, je n'étais pas venu dans ce dessein‑là, je te l'avoue. Tout valet que je suis, je n'ai jamais eu de grande liaison avec les soubrettes ; je n'aime pas l'esprit domestique ; mais, à ton égard, c'est une autre affaire. Comment donc ! tu me soumets ; je suis presque timide […]. Quelle espèce de suivante es-tu donc, avec ton air de princesse ?

SILVIA. – Tiens, tout ce que tu dis avoir senti en me voyant, est précisément l'histoire de tous les valets qui m'ont vue.

DORANTE. – Ma foi, je ne serais pas surpris quand ce serait aussi l'histoire de tous les maîtres.

SILVIA. – Le trait est joli assurément ; mais je te le répète encore, je ne suis pas faite aux cajoleries de ceux dont la garde‑robe ressemble à la tienne.
Pierre de Marivaux,
Le jeu de l'amour et du hasard, I, 7, 1730.
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7
a. Quelle est la tonalité dominante dans chacun des deux extraits proposés ci‑dessous ? Aidez‑vous de si nécessaire.

b. Pourquoi ces deux scènes qui se suivent sont‑elles représentatives du drame romantique ?

c. Montrez qu'elles illustrent les propos de l'auteur.


1.
Don Salluste déguise le valet Ruy Blas en noble et le fait passer pour son cousin, Don César. Ruy Blas, amoureux de la reine, vient de découvrir que la machination de Don Salluste vise à se venger de la reine.

RUY BLAS, seul


Que faire ? – elle d'abord ! Elle avant tout ! – rien qu'elle !
Dût-on voir sur un mur rejaillir ma cervelle,
Dût le gibet me prendre ou l'enfer me saisir !
Il faut que je la sauve ! – Oui ! Mais y réussir ? Comment faire ? Donner mon sang, mon cœur, mon âme,
Ce n'est rien, c'est aisé. Mais rompre cette trame !
Deviner... – deviner ! Car il faut deviner ! –
Ce que cet homme a pu construire et combiner !
[...] Le sort trouble nos têtes
Dans la rapidité des choses sitôt faites.
Victor Hugo,
Ruy Blas, IV, 1, 1838.


2.
Le vrai Don César, que Don Salluste a fait enlever, parvient à s'échapper et se réfugie par hasard chez Ruy Blas.

DON CÉSAR


Effaré, essoufflé, décoiffé, étourdi, avec une expression joyeuse et inquiète en même temps.
Tant pis ! C'est moi !

Il se relève en se frottant la jambe sur laquelle il est tombé, et s'avance dans la chambre avec force révérences et chapeau bas.
Vous parliez entre vous. Continuez, de grâce.
J'entre un peu brusquement, messieurs, j'en suis fâché !
Il s'arrête au milieu de la chambre et s'aperçoit qu'il est seul.
– Personne ! – Sur le toit tout à l'heure perché,
J'ai cru pourtant ouïr un bruit de voix. – personne !
Victor Hugo,
Ruy Blas, IV, 2, 1838.


3.
Le sublime sur le sublime produit malaisément un contraste, et l'on a besoin de se reposer de tout, même du beau. Il semble au contraire que le grotesque soit un temps d'arrêt, un terme de comparaison, un point de départ d'où l'on s'élève vers le beau avec une perception plus fraîche et plus excitée.
Victor Hugo,
Préface de Cromwell, octobre 1827.
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8
a. De quel type de pièce s'agit‑il ? Justifiez.

b. En respectant le ton et les personnages, écrivez la suite de cette scène : Maxime demande des conseils à Victoire pour déclarer sa flamme à une jeune fille dont il est amoureux.
Victoire, la bonne, s'adresse à Maxime, un jeune étudiant toujours plongé dans ses livres.

VICTOIRE. – [...] Est-ce qu'un jeune homme doit apprendre l'amour dans un livre !… C'est comme les gens qui apprennent à nager sur un pliant !… Ils ne sont bons à rien quand on les fiche à l'eau !… Allons, posez‑moi ce bouquin-là !…
Elle le lui prend et s'assied à côté de lui.

MAXIME. – Mais qu'est-ce qu'elle a ?

VICTOIRE, le prenant par les épaules. – Et puis, regardez‑moi ça !… Est-ce que vous devriez être fagoté comme ça ! (Elle lui arrange ses vêtements.) C'est comme ces vilaines lunettes !… (Elle les lui enlève.) Est‑ce que vous ne voyez pas aussi bien comme ça ?

MAXIME. – Si !… Je vois même mieux !

VICTOIRE, passant derrière le canapé. – Et puis, qu'est-ce que c'est que cette coiffure ?… Est-il permis, quand la nature vous a donné du physique, de s'enlaidir comme ça !
Elle lui arrange les cheveux sur le front.

MAXIME, les yeux fermés. – Non, vraiment ! c'est agréable ce que vous me faites là.

VICTOIRE, le serrant sur sa poitrine. – Ouh ! le pitit ! pitit ! pitit !

MAXIME. – On est bien, là‑dessus !
Georges Feydeau,
L'Hôtel du Libre‑Échange, I, 6, 1894.
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9
a. Cette pièce reprend une tragédie antique. Néanmoins, qu'est-ce qui rend les personnages proches de nous ?

b. Quels sont les effets comiques utilisés ?

c. Voici la suite : le fantôme de Laïus tente d'avertir Jocaste d'un terrible danger mais elle ne l'entend pas. Vous écrirez cette scène qui mêlera tragique et comique.
À Thèbes, où un Sphinx dévore les jeunes gens, la reine Jocaste et le devin Tirésias croisent un jeune soldat rappelant à Jocaste son fils abandonné.

JOCASTE. – Si j'avais un fils, il serait beau, il serait brave, il devinerait l'énigme, il tuerait le Sphinx. Il reviendrait vainqueur.

TIRÉSIAS. – Et vous n'auriez pas de mari.

JOCASTE. – Les petits garçons disent tous : « Je veux devenir un homme pour me marier avec maman. » Ce n'est pas si bête, Tirésias. Est-il plus doux ménage, ménage plus doux et plus cruel, ménage plus fier de soi, que ce couple d'un fils et d'une mère jeune ? Ecoute, Zizi, tout à l'heure, lorsque j'ai touché le corps de ce garde, les dieux savent ce qu'il a dû croire, le pauvret, et moi, j'ai failli m'évanouir. Il aurait dix‑neuf ans, Tirésias, dix‑neuf ans ! L'âge de ce soldat. Savons‑nous si Laïus ne lui est pas apparu parce qu'il lui ressemble.
Jean Cocteau,
La Machine Infernale, Acte I « Le fantôme », 1932.
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10
a. Qu'est-ce qui relève du théâtre de l'absurde dans cet extrait ?

b. En quoi peut‑il illustrer les propos de Ionesco dans Notes et contre-notes (1958), « le comique est tragique, et la tragédie de l'homme, dérisoire » ?
Vladimir essaie d'enlever sa chaussure qui le gêne.

VLADIMIR. – Le dernier moment… [...] Des fois je me dis que ça vient quand même. Alors je me sens tout drôle. (Il ôte son chapeau, regarde dedans, y promène sa main, le secoue, le remet.) Comment dire ? Soulagé et en même temps... (il cherche) ...épouvanté. (Avec emphase.) É-POU-VAN-TÉ. (Il ôte à nouveau son chapeau, regarde dedans.) Ça alors ! (Il tape dessus comme pour en faire tomber quelque chose, regarde à nouveau dedans, le remet.) Enfin... (Estragon, au prix d'un suprême effort, parvient à enlever sa chaussure. Il regarde dedans, y promène sa main, la retourne, la secoue, cherche par terre s'il n'en est pas tombé quelque chose, ne trouve rien, passe sa main à nouveau dans sa chaussure, les yeux vagues.) Alors ?

ESTRAGON. – Rien.

VLADIMIR. – Fais voir.

ESTRAGON. – Il n'y a rien à voir.
Samuel Beckett,
En attendant Godot, I, 1952, Éditions de Minuit.
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11
Vers le bac
a. Associez chacune de ces photographies à la légende ci‑dessous qui lui correspond.

1. L'Hôtel du Libre‑Échange, mise en scène d'I. Nanty, 2017.

2. Phèdre, mise en scène de J.-L. Martinelli, 2012.

3. Tartuffe, mise en scène de G. Stoev, 2014.

4. En attendant Godot, mise en scène de J.-P. Vincent, 2015.

5. Ruy Blas, mise en scène de C. Schiaretti, 2011.

b. Identifiez le type de chacune des pièces puis donnez leur date d'écriture.

c. En vous aidant des exercices précédents, rappelez le nom des dramaturges pour chacune des pièces.
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A

Placeholder pour Phèdre, mise en scène de J.-L. Martinelli, 2012.Phèdre, mise en scène de J.-L. Martinelli, 2012.
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Légende :

Type de pièce :

Date d'écriture :

Nom du dramaturge :
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B

Placeholder pour En attendant Godot, mise en scène de J.-P. Vincent, 2015.En attendant Godot, mise en scène de J.-P. Vincent, 2015.
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Légende :

Type de pièce :

Date d'écriture :

Nom du dramaturge :
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C

Placeholder pour L'Hôtel du Libre-Échange, mise en scène d'I. Nanty, 2017.L'Hôtel du Libre-Échange, mise en scène d'I. Nanty, 2017.
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Légende :

Type de pièce :

Date d'écriture :

Nom du dramaturge :
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D

Placeholder pour Ruy Blas, mise en scène de C. Schiaretti, 2011.Ruy Blas, mise en scène de C. Schiaretti, 2011.
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Légende :

Type de pièce :

Date d'écriture :

Nom du dramaturge :
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E

Placeholder pour Tartuffe, mise en scène de G. Stoev, 2014.Tartuffe, mise en scène de G. Stoev, 2014.
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