[...] Einstein avait su voir [...] ce qui se cachait derrière le mouvement brownien [...].
[...] Loin d'être de simples caprices, les déplacements [au hasard] reflètent un ordre [invisible], déterminés qu'ils sont par l'agitation de [particules] invisibles : les molécules d'eau. Innombrables et minuscules, ce sont elles qui heurtent [...] les grains en suspension de poussière ou de verre, les obligeant à changer sans cesse de direction.