Éleveur depuis vingt ans, François Trubert
fait partie de la première génération à
avoir investi dans la méthanisation. C'était
en 2011, après cinq ans de réflexion.
« Grâce à la méthanisation, j'ai embauché
deux personnes, acheté un robot de traite
et j'ai trois week-ends de libres par mois.
Sans elle, la ferme n'existerait plus […].
Je n'aurais pas pu continuer à cause de
la charge de travail et du prix du lait trop
faible ».