Si, dès le XVIIe siècle, et, très clairement encore, au cours du
XVIIIe, tant de femmes écrivirent tant de romans, [...] [c'est] parce que
c'était un genre roturier, méprisé, paria, déshérité, et que les hommes leur
avaient plus ou moins consciemment abandonné, un peu comme une
grande dame abandonne son chapeau démodé à sa femme de chambre.