La variété des espaces urbains et la diversité des habitants
P.194-195
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La variété des espaces urbains et la diversité des habitants
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Découvrez le bidonville de Kibera cartographié par ses habitants grâce à Open Street Map.
Doc. 1
Se cultiver : le Metropolitan Museum of Art à New York
Le Metropolitan Museum of Art (MET) est un des plus grands musées au monde. Il est situé à Manhattan, en plein cœur de New York. Les collections du musée comptent plus de 2 millions d’œuvres, couvrant toutes les périodes et les civilisations. 5 millions de visiteurs, venus du monde entier, le visitent chaque année.
Doc. 2
Travailler dans un quartier des affaires : la Défense à Paris
Cœur économique de la métropole parisienne, le quartier de la Défense accueille de nombreuses entreprises. Il se vide de ses habitants le soir, car la plupart des 180 000 personnes qui y travaillent vivent dans le centre de Paris ou en banlieue.
Doc. 3
Se déplacer : embouteillages à Beijing (Chine)
Les métropoles chinoises connaissent une croissance très rapide. Elles sont de plus en plus étendues. Les habitants résident souvent loin de leur lieu de travail. Ils passent de longues heures dans les embouteillages, ce qui génère une pollution importante.
Doc. 4
Habiter et vivre dans un bidonville à Nairobi (Kenya)
Le bidonville de Kibera est situé à Nairobi, la capitale du Kenya. Un tiers de la population de la ville y habite.
Habiter et vivre dans un bidonville à Nairobi (Kenya)
Daniel Anyumba offre, chaque jour, sa force de travail sur les chantiers de la banlieue industrielle de Nairobi. Comme la plupart des habitants de Kibera, il fait ses trajets à pied – huit kilomètres dans chaque sens – pour économiser le prix du minibus. Il gagne entre 1 et 2 dollars par jour (entre 0,74 et 1,48 euro), pour 8 à 12 heures de travail [...]. La famille Anyumba habite dans une seule pièce. Tous dorment par terre. Dans le meilleur des cas, ils se nourrissent de maïs et de haricots [...]. Kibera, en raison de l’exode rural, grossit de 10 000 arrivants chaque année.
« Kibera, la plaie de Nairobi », Le Monde, mars 2011
Le bidonville de Kibera est coupé en deux par une voie de chemin de fer. Les rues en terre sont couvertes de déchets.
Les habitants travaillent dans des commerces informels dans le bidonville ou dans d’autres quartiers de la métropole. 300 écoles accueillent les enfants.
Les nouveaux habitants ont quitté leur village à la recherche d’un travail et de meilleures conditions de vie. Ils construisent des maisons de tôle et de bois.
Les maisons n’ont ni électricité ni eau courante pour se laver, cuisiner, laver les habits. Il n’y a pas de toilettes dans les maisons.
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