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Rappels de première
Algèbre et géométrie
Ch. 1
Combinatoire et dénombrement
Ch. 2
Vecteurs, droites et plans de l’espace
Ch. 3
Orthogonalité et distances dans l’espace
Analyse
Ch. 4
Suites
Ch. 5
Limites de fonctions
Ch. 6
Continuité
Ch. 7
Compléments sur la dérivation
Ch. 8
Logarithme népérien
Ch. 9
Fonctions trigonométriques
Ch. 10
Primitives - Équations différentielles
Ch. 11
Calcul intégral
Probabilités
Ch. 12
Loi binomiale
Ch. 13
Sommes de variables aléatoires
Ch. 14
Loi des grands nombres
Annexes
Exercices transversaux
Grand Oral
Apprendre à démontrer
Cahier d'algorithmique et de programmation
Apprendre à démontrer
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Raisonnement par disjonction des cas
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Cours
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Principe
Lorsque la démonstration d'une propriété dépend de la valeur de x, il est parfois utile de faire une disjonction de cas : on sépare le raisonnement suivant toutes les valeurs que peut prendre x.
On peut, par exemple, séparer les cas où x est un entier pair des cas où x est impair, ou encore séparer les cas où x est un réel positif des cas où il est strictement négatif.
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Remarque
Après avoir raisonné par disjonction des cas, il faut s'assurer de bien avoir effectivement traité tous les cas.
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Exercice corrigé
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Énoncé
Montrer que, pour tout entier relatif n, 2n(n+1) est un entier.
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Rédaction détaillée
Si n est pair, il existe un entier relatif k tel que n=2k.
Ainsi, 2n(n+1)=22k(2k+1)=k(2k+1) et ce nombre est un entier.
Si n est impair, il existe un entier relatif k tel que n=2k+1.
Ainsi, 2n(n+1)=2(2k+1)(2k+2)=2(2k+1)×2(k+1)=(2k+1)(k+1) et ce nombre est un entier.
Finalement, pour tout entier relatif n, 2n(n+1) est un entier.
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Explications
On sépare les raisonnements suivant la parité de n.
Un entier étant soit pair, soit impair, on a bien traité tous les cas : on peut donc conclure que la proposition est vraie pour tout n.
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Exercices
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38
Montrer que, pour tout réel x, x2⩾0.
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39
Soit x un réel. Montrer que x2=∣x∣.
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40
Soit n un entier relatif. Montrer que le produit n(n+1)(n+2) est divisible par 3.
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41
Soient a et q deux réels, tous les deux non nuls.
On considère une suite (un) définie par u0=a et, pour tout entier naturel n, un+1=qun.
1. Soit n∈N. Que vaut un+1−un ?
2. En déduire le sens de variation de la suite (un) selon les valeurs de a et q.
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42
Soit f une fonction définie sur R, décroissante sur ]−∞;5] et croissante sur [5;+∞[. On sait que f(5)=−3. Montrer que, pour tout réel x, f(x)⩾−3.
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43
Montrer que, pour tout réel x, ∣x−1∣⩽x2−x+1.
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44
Soit f une fonction définie et monotone sur R.
On note f∘f la fonction définie pour tout réel x par (f∘f)(x)=f(f(x)).
Montrer que f∘f est croissante sur R.
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45
Soient x et y deux réels. On souhaite montrer que ∣x+y∣⩽∣x∣+∣y∣.
1. Si x+y⩾0, que vaut ∣x+y∣ ?
2. En déduire que ∣x+y∣⩽∣x∣+∣y∣.
3. Faire de même dans le cas où x+y<0 et conclure.
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46
Montrer que, pour tous réels x et y :
max(x,y)=21(x+y+∣x−y∣).
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47
On considère deux entiers naturels a et b qui ne sont pas divisibles par 3. On veut alors démontrer que a×b n'est pas divisible par 3.
1.a. Justifier qu'il existe un entier q tel que a=3q+1 ou a=3q+2.
b. De même, décomposer b à l'aide d'un entier q′.
2. Supposons que a=3q+1 et b=3q′+2.
a. Déterminer le produit a×b en fonction de q et q′.
b. Justifier que ce produit n'est pas divisible par 3.
3. Il existe encore trois autres cas à tester. Calculer le produit a×b dans chacun de ces cas‑là et conclure.
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