Les textes
Je n’invente rien (⇧)
À qui C. Da Silva s’adresse-t-il ?
a) Selon lui, quels mots le poète utilise-t-il ?
b) En quoi consiste son travail ?
La poésie c’est comme les lunettes (⇧)
Pourquoi les activités évoquées à la ligne 3 ( « la télévision, le cinéma, le foot et le loto ») rendraient-elles le travail du poète inutile ?
Que veut dire le poète aux lignes 5 à 8 ( « C’est pour mieux voir. Parce que nos yeux ne savent plus, ils sont fatigués, usés. Croyez-moi, tous ces gens autour de vous, ils ont les yeux ouverts et pourtant petit à petit, sans s’en rendre compte, ils deviennent aveugles. »)?
À quoi compare-t-il la poésie ?
En face (⇧)
Quelle scène le poète observe-t-il ? Relisez les quatre premiers vers.
a) Les gouttes d’eau sont associées à trois éléments. Lesquels ?
b) Quel est le point commun entre eux ?
c) Lesquels sont réels ? Lesquels sont imaginaires ?
Le v. 3 est sur deux lignes (« Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière »). À votre avis, pourquoi le poète a-t-il fait ce choix ?
Synthèse. À quel(s) autre(s) poème(s) du chapitre ce poème vous fait-il penser ?
a) Selon vous, illustre-t-il bien ce qu’écrivent Ch. Da Silva et J.-P. Siméon ?
b) Quels autres poèmes du chapitre pourraient l’illustrer ?