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Perspective
Le spectrophotomètre de Tyndall
Le physicien irlandais
John Tyndall exploite le spectrophotomètre dans des expériences qui visent à définir les capacités à absorber et à transmettre les rayonnements infrarouges des « gaz et vapeurs parfaitement incolores et invisibles » (aujourd'hui appelés gaz à effet de serre).
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Schéma du spectrophotomètre de Tyndall.
Par simplification, le spectrophotomètre de Tyndall peut être résumé à un long tube de cuivre pouvant être rempli du gaz à étudier, un système
d'émission de rayonnement infrarouge (eau bouillante) et un système de mesure comprenant, entre autres, une thermopile. Le tube de cuivre est fermé par deux plaques de sel gemme absorbant
de façon contrôlée les infrarouges.
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Métiers
Portrait d'un enseignant-chercheur en sciences du climat
Interview de L. Bopp.
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Laurent Bopp est directeur de recherche au CNRS et professeur attaché à l'École normale supérieure (ENS). Il a participé à la rédaction du rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat).
Quel est l'objet de vos recherches ?
Je m'intéresse à la façon dont l'océan répond au changement climatique. En particulier, j'étudie le
puits de carbone vers l'océan : quelle est la quantité de carbone émis par l'Homme que l'océan est et sera
capable d'absorber ?
Quelles filières post-bac avez-vous suivies ?
Une classe préparatoire BCPST (biologie, chimie, physique et sciences de la Terre), puis des études de
géosciences à l'ENS et enfin un doctorat.
Autres voies possibles :
licence puis master (bac + 5) suivis d'un doctorat à l'université.
Salaire indicatif en début de carrière : 1 795 euros bruts mensuels.