La somme des intensités des courants qui arrivent à un nœud est égale à la somme des
intensités des courants qui partent de ce nœud.
Ceci se traduit dans cet exemple par I1+I2=I3+I4.
Le zoom est accessible dans la version Premium.
La loi des mailles
La loi des mailles : la somme des tensions des dipôles le long d'une maille est égale à 0 V.
En parcourant la maille (AGFEDCBA), on peut écrire UAA=0 V soit : UAG+UGF+UFE+UED+UDC+UCB+UBA=0 V, et en s'appuyant sur le schéma : 0+0−UEF−UDE+0+0+UBA=0 V
donc : UBA=UDE+UEF
On retrouve ici la loi d'additivité des tensions pour des dipôles en série.
En parcourant la maille (ABCGA), on peut écrire UAA=0 V soit : UAB+UBC+UCG+UGA=0 V et en s'appuyant sur le schéma du circuit :
UAB+0+UCG+0=0 V d'où : UBA=UCG
On retrouve ici la loi d'unicité des tensions sur deux branches en dérivation.
Le zoom est accessible dans la version Premium.
Les limites des capteurs
Le capteur délivre en sortie une tension électrique qui dépend de la grandeur mesurée en entrée. Le signal délivré en sortie peut être « faussé » de multiples manières :
les variations de température, de pression, d'humidité ou encore une perturbation par un champ magnétique extérieur (présence d'un aimant au voisinage immédiat du capteur, etc.) peuvent modifier la valeur mesurée ;
chaque capteur possède un temps de réaction propre. Il peut être nécessaire d'espacer dans le temps des mesures successives ;
les capteurs ont une précision et une plage de mesure dépendant de leur technologie et de leur prix. Il convient de trouver un compromis coût/efficacité, selon les mesures à effectuer et la précision attendue.
Notons également que le microcontrôleur Arduino peut convertir un signal d'entrée analogique en un signal numérique. Cette opération appelée conversion analogique/ numérique est limitée à des signaux de fréquence 1 kHz maximum pour Arduino.