Mathématiques 1re Spécialité

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Algèbre
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Ch. 2
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Ch. 5
Applications de la dérivation
Ch. 6
Fonction exponentielle
Ch. 7
Trigonométrie
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Géométrie
Ch. 9
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Ch. 10
Configurations géométriques
Probabilités et statistiques
Ch. 11
Probabilités conditionnelles
Ch. 12
Variables aléatoires réelles
Annexes
Exercices transversaux
Cahier d'algorithmique et de programmation
Rappels de seconde
Partie 2
Histoire des mathématiques

Analyse

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Histoire
La méthode des fluxions et des suites infinies

Newton a publié ses travaux sur les fluxions en 1671 dans Tractatus de methodis serierum et fluxionum. Il explique qu'il « ne considère pas les grandeurs mathématiques comme formées de parties [...] mais comme décrites d'un mouvement continu », version physique d'un concept mathématique.

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Explication de La Méthode des fluxions et des suites infinies - Isaac Newton - Version en anglais de 1736, collection personnelle du Président John Adams annotée par lui-même, Boston Public Library.
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Histoire
La naissance du calcul différentiel

Le calcul différentiel s'impose au XVIIe siècle par sa capacité à donner des solutions simples à des problèmes nombreux et d'origines variées (cinématique, mécanique, géométrie, optimisation, etc.). Dès le XVIe siècle, les scientifiques se sont intéressés à des problèmes de calculs d'aires et de tangentes. Cavalieri (1598-1647) reprend des principes utilisés par Archimède 1800 ans avant lui. Selon lui, une surface plane est constituée d'un nombre indéfini de lignes droites parallèles. Les mathématiciens qui suivent développent cette idée mais il faut attendr les travaux de Newton (1642-1727) et de Leibniz (1642-1716), indépendamment l'un de l'autre, pour jeter les premières bases d'un calcul infinitésimal exploitable dans bien des domaines. Leurs exposés étaient d'autant plus complexes que la notion de fonction était seulement en train de prendre forme. Leurs approches partent de concepts intuitifs, mais flous, d'infiniment petit. Ce n'est que progressivement que les notions de limites et de différentielles, qui fondent l'exposé actuel, ont été clarifiées au XIXe siècle.

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Les principes de Newton et de Leibniz étaient sensiblement les mêmes : lorsqu'un point se déplace de \text{M} en \text{M}', on approche son déplacement par c, \text{M'} prenant comme abscisse x + a . Pour Newton, l'influence de la physique est omniprésente et le déplacement de \text{M} dépend du temps (linéaire). Il note : a = \dot xo et b = \dot yo. Leibniz était en train de travailler sur une série proposée par Huygens (1629-1695) et il trouva la réponse au problème en calculant des différences. Pour le calcul infinitésimal, il s'inspira de ce travail et proposa comme notation : a = \text{d}x et b = \text{d}y . Plus tard, la dérivée d'une fonction f par rapport à la variable x est notée \dfrac{\mathrm{d} f}{\mathrm{d} x}.

Schéma de l'élaboration du calcul différentiel
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Questions
Le nombre \dot xo dont parle Newton est un nombre infiniment proche de 0 mais différent de 0.

1. Développer l'expression suivante en remplaçant x par x + \dot xo et y par y + \dot yo : x^3 - ax^2 + axy - y^3 .

2. Simplifier l'expression obtenue sachant que x^3 - ax^2 + axy - y^3 = 0 .

3. Qu'obtient-on en supposant que l'on a aussi (\dot xo)^3 -a (\dot xo)^2 +a(\dot xo)(\dot yo)-(\dot yo)^3= 0 ?
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Frise interactive

1598 - 30 novembre 1647
Bonaventura Cavalieri
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